Qui es-tu, Ollie Schniederjans ?

Ollie Schniederjans

Alors que la « FedEx Cup Playsoffs » vient de commencer sur le « PGA Tour » (avec une victoire de Dustin « Groovy » Johnson dans le premier des quatre tournois) et que le « Made In Danemark » s’est terminé sur l’European Tour, les semaines précédentes ont vu la presque victoire du jeune joueur américain Ollie Schniederjans.

En effet, le jeune néo-pro s’est incliné de justesse au Wyndham Championship (PGA Tour – 20 août 2017 – Greensboro, NC) face au grand Henrik Stenson… qui était quant à lui à la recherche d’une victoire depuis son majeur de 2016 (i.e. The Open) :

Ce jeune américain, devenu professionnel en 2015 et passé par le Web.com Tour, avait réalisé une saison prometteuse en 2016 sur le « PGA Tour » (ex: 38ème au Shriners Hospitals for Children Open, 48ème au Frys.com Open, 49ème au Farmers Insurance Open). Mais la saison 2017, ne laisse plus de doute sur le talent de ce joueur (ex : 6ème au RSM Classic, 3ème au RBC Heritage, 2ème Wyndham Championship) avec un total de 5 Top 10, il est actuellement 42ème au classement Fed-Ex… et par conséquent a sécurisé sa carte pour l’an prochain.

Née à Dallas et élévé à Powder Spring en Géorgie, il a joué comme beaucoup de jeunes américains au football (américain), au Basketball et au Baseball avant de choisir le golf.

Il a rejoint, en 2010, la fameuse université « Georgia Tech«  pour y parfaire son apprentissage. Cette université est connue pour « produire » de grands golfeurs. En effet, David Duval (ancien n°1 mondial) à joué à « Georgia Tech » tout comme Matt Kuchar et Cameron Tringale. Mais plus anciennement le vainqueur du Masters Larry Mize est aussi issue de cette université. Enfin, l’illustre Bobby Jones, fondateur du Masters, a fait ses classes à la « Georgia Tech ».

La suite pour ce golfeur américain (1 mètre 85 cm pour 76 Kg) est limpide. Il va devenir n°1 mondial amateur et y rester pendant 41 semaines…avant d’être détrôner par un certain John Ram

Au delà de ses nombreux titre amateurs (et distinctions) et participations aux épreuves internationales (ex : Palmer Cup, Junior Ryder Cup), il a marqué le monde du Golf par ses performances, en tant qu’amateur, dans les deux majeurs auxquels il a participé en 2015 :

  • 42ème à l’US Open, il passe donc le « cut », ce qui est déjà une performance en soit ;

  • 12ème à The Open, il a « posté » un 67 à St Andrews lors du dernier tour.

Avec ces deux performance, en majeur, il rejoint, Tiger Woods et Phil Mickelson qui sont les deux seuls joueurs amateurs depuis 1960 à avoir joué le weekend dans ces deux majeurs, l’US Open et The Open.

Depuis qu’il est diplômé de l’université, il s’est consacré pleinement au golf et se fait « coacher » depuis ses débuts en professionnel par Sean Foley (i.e. Coach de Justin Rose et ancien coach de Tiger…). Les résultats des années 2016 et 2017 sont là pour le démontrer !!

Il ne lui reste plus qu’a rentrer dans les 30 premiers au classement de la « FedEx Cup Playsoffs » pour pouvoir atteindre son objectif, participer au dernier tournoi de ces « play-offs » à « East Lake Golf Club » (Atlanta – Géorgie) où il sera presque comme chez lui….

Pour finir, cette future étoile du Golf utilise :

Driver:  Callaway GBB Epic (9 degrés) avec un « shaft » Mitsubishi Rayon Diamana S+ Limited Edition 70TX ;

Bois 3: Callaway GBB Epic (15 degrés) avec un « shaft » Mitsubishi Rayon Diamana S+ Limited Edition 80TX ;

Fers: Callaway Apex (Fer 3), Callaway Apex Pro 2016 (Fer 4-PW) avec des « shafts » Nippon N.S. Pro Modus3 Tour 120TX ;

Wedges : Callaway Mack Daddy Forged (52-10, 58-08, 60-08) avec des « shafts » True Temper Dynamic Gold Tour Issue S400 ;

Putter: Odyssey Metal-X Milled 2-Ball ;

Golf Ball: Callaway Chrome Soft X.

Mais surtout, il ne porte pas de casquette lorsqu’il joue, je trouve ça plus classe.

JUSTIN THOMAS, from the back nine !

Le vainqueur du dernier Grand Chelem de la saison, le PGA Championship, est donc l’imprévisible Justin Thomas !!

Ce jeune américain de 24 ans, originaire de Louisville dans le Kentucky rejoint donc ses illustres aînés, Tiger Woods, Jack Nicklaus,… en s’imposant aussi jeune dans un tournoi Majeur.

Il faut savoir, que très tôt, cet américain s’est illustré en devenant le troisième plus jeune joueur (16 ans 3 mois et 24 jours) à passer le « cut » d’un tournoi de la PGA en août 2009 (i.e. Wyndham Championship). Il est aussi le fils du « Head Pro » du « Harmony Country Club » à Ghosen dans le Kentucky.

Il est passé professionnel en 2013 et a obtenu sa carte sur le Web.com Tour via les « qualifying school ». Il a gagné son premier titre professionnel au « National Children’s Hospital Championship » en 2014. Justin Thomas finira cinquième de la saison régulière 2014 du Web.com Tour, et troisième après les Web.com Tour Finals, et obtiendra ainsi sa carte pour le PGA Tour pour la saison 2015.

Il obtiendra sa première victoire, sur le PGA Tour, le 1st novembre 2015 en remportant le « CIMB Classic » de Kuala Lumpur, Malaisie. Le tout, en devançant d’un coup l’australien Adam Scott. Thomas a défendu avec succès son titre en 2016 pour son second titre sur le PGA Tour.

Il faisait partie des potentiels favoris choisis par la presse américaine pour ce dernier majeur. En effet, il s’était imposé deux semaines de suite en début de saison:

  • 8 janvier 2017, il remporte le « SBS Tournament of Champions », avec 3 coups d’avance sur le japonais Hideki Matsuyama ;
  • 15 janvier 2017, il remporte le « Sony Hawai Open », avec 7 coups d’avance sur l’anglais Justin Rose.

Sinon, que connait-on du bonhomme :

  • Justin Thomas est en fait un « enfant » de Tiger Woods… il rêve de jouer sur le PGA Tour depuis qu’il a vu, à 7 ans, le grand Tiger s’imposer en 2000 au « PGA Championship » de Vahalla. Justin Thomas a une cassette VHS du tournoi qu’il estime avoir regardé une cinquantaine de fois ;
  •  Justin Thomas passait la plupart de ses journées d’été a jouer au golf pendant que son père de professeur de golf, travaillait. A la fin de la journée, ils jouaient en faisant des petits challenges pour un dollar ;
  • Il pourrait être déjà le joueur de l’année 2017, avec 3 victoires (déjà) sur le PGA Tour, incluant un 59 lors de sa victoire au « Sony Open » et ensuite un 63 à l’US Open de Erin Hills. La victoire au PGA Championship, lui permet d’être le joueur avec le plus de victoires parmi tous les vainqueurs de majeur cette année (i.e. Sergio Garcia, Bruce Koepka, Jordan Spieth) ;
  • Avec seulement 145 « pounds » ( 65 Kg), Justin Thomas est l’un des plus gros frappeurs sur le Tour. C’est complètement dingue de penser que Justin Thomas puisse envoyer la balle aussi loin. Il est classé premier en distance au « Driving » lors de cette semaine Quail Hollow (328 yards = 299 mètres) et 7 ème sur le PGA Tour cette année (310 Yards = 283 mètres, 10 yards de mieux que la moyenne). Je vous invite à regarder cette petite vidéo, vous allez halluciner :

  • C’est un des «potos » de Jordan Spieth et cela depuis qu’ils ont fait l’Evian Junior Masters en France quand il avaient 14 et 13 ans.

Et sinon comment s’est dessinée la victoire de l’extra terrestre…

Au départ du dernier tour, Justin Thomas étaient dans le Top 10 (4ème) à 2 coups de la tête (comme Luis Oosthuizen), occupée par l’américain Kevin Kisner à – 7 sous le part. Par ailleurs, plusieurs fins limiers n’étaient pas loin comme Chris Stroud, Hideki Matsuyama (à 1 coup) Francesco Molinari, Gary Woodland, Patrick Reed… étaient eux à 5 coups de la tête, donc rien n’étaient joué….

Malgré un début de partie mitigée, 2 « bogeys » lors des 3 premiers trous, la suite sera beaucoup plus lumineuse. Il a reconnu, que son début (i.e. Drive dans le bunker) était sans doute du à l’adrénaline et à sa volonté d’en découdre….

Ensuite, les choses sont rentrées dans l’ordre puisque il a fait « birdie » au 7 et au 9, ce qui lui a permis de revenir à – 6 et d’être placé pour la dernière ligne droite. Enfin, il a enchaîné un « back-nine » de folie avec 3 birdies dont un superbe sur le par-3 du 17 (de 221 yards) avec un drapeau particulièrement difficile. Il a suffit à Justin Thomas un « petit » coup de fer 7 et d’un putt et il était ainsi « leader » avec 3 coups d’avance… Ainsi, il a pu finir avec un « bogey » au 18 et de remporter la mise.

Pendant ce temps, Kevin Kisner sombrait à + 3 pour la journée (cruel après avoir mené durant les 3 premiers jours) et Hideki Matsuyama à +1 échouait à nouveau dans sa quête de premier majeur :

TOP 10 du PGA Championship 2017

On peut donc tirer le bilan suivant de ce dernier majeur :

  • Patrick Reed (Captain America) : un dernier tour à 67 avec ses « fist – pumps » habituelement réservés à la Ryder Cup… ont enchanté les spectateurs. Malheureusement, un  » bogey » pour finir lui coûte la deuxième place en « solo ».
  • Luis Oosthuizen : malgré un dernier tour à 70, il termine 2 ème, encore une fois d’un majeur…En effet, le Sud Africain a terminé deuxième dans les quatre majeurs…
  • Rickie Fowler : lors du dernier tours, il a fait quatre « birdies » consécutivement entre le 12 et le 15 pour se rapprocher momentanément des « leaders ». Cela s’est avéré trop court et trop tardif. Mais son 67, lui a donné son septième TOP 5 dans un majeur… S’il regarde en arrière, pour savoir pourquoi il n’est pas vainqueur cette semaine, il doit juste se retourner vers son premier tour et ce TRIPLE « bogey » sur le 5…
  • Rory Mcllroy : Il a eu un solide dimanche pour passer dans le Top 25, mais après cette blessure à la côte qui l’a dérangé toute l’année, quoi faire ? Le quadruple vainqueur de majeur a déclaré qu’il retourne en Irlande du Nord pou voir son entraîneur et évaluer son planning pour le reste de la saison : « Je ne sais pas ce que je vais faire. Vous pourriez ne pas me voir jusqu’à l’année prochaine. Vous pourriez me voir dans quelques semaines » (source GolfDigest).

Bien évidement, on ne va pas oublier notre petit Frenchy, Alexander Levy, qui n’a malheureusement pas passé le « cut »… Pourquoi ? Difficile à dire… Son « driving », un de ses points forts n’était pas au rendez-vous. Mais comment expliquer qu’un déjà multiple vainqueur sur le Tour Européen ne passe pas le « Cut », je ne comprends pas. Un problème mental  ?

Cela met encore plus en valeur la performance de Mike Lorenzo-Vera, qui a passé le « Cut » à l’Open…

Alors, félicitations à Justin Thomas que l’on devrait voir briller (encore) dans peu de temps…

2017 PGA Championship, pour qui ?!?

Alors que le dernier majeur de la saison va se jouer cette semaine, la presse américaine se lance dans ses habituels pronostics. Vous trouverez ci-dessous leurs prédictions :

Tournament Predictions: 2017 PGA Championship

On a d’un côté les « experts » qui choisissent les favoris suivants: Rickie Fowler, Hideki Matsuyama, Xander Schauffele, Kevin Kisner et Jordan Spieth. De  l’autre côté les « professeurs » qui eux choisissent leur poulain: Dustin JohnsonRory McIlroyJordan Spieth, Henrik Stenson et Jon Rahm. Et enfin, les « lecteurs » (les gars comme toi et moi) ont désigné leur chouchou: Hideki MatsuyamaRickie FowlerJordan Spieth, Dustin JohnsonJustin Thomas.

Pour ma part, je mettrai bien une pièce sur D. Johnson (si il retrouve son groove…), Rory Mcllroy (s’il retrouve de la justesse avec ses « wedges » et son « putting », évidement), Jordan Spieth (pour l’histoire)  et l’imprévisible Justin Thomas.

 Les autres me semblent pas vraiment dans le coup ou un peu fatigués.
Allez, rajoutons quand même, le belge Pieters Thomas.
Qui vivra verra ! Alors rendez-vous dimanche 13 voir lundi 14 août….

ブラボー, Hideki Matsuyama !!!

Le joueur japonais, Hideki Matsuyama , n°3 mondial s’est donc imposé lors du dernier  « Bridgestone Invitational », une des épreuves du Championnat du Monde de Golf (World Golf Championship). Celle-ci se déroulait sur le parcours sud du « Firestone Country Club” à Akron dans l’Ohio :

Le joueur japonais a remporté le tournoi avec brio puisqu’il a égalé le record du parcours (61 coups) lors du dernier tour. Il rejoint ainsi un illustre champion qui s’est imposé 8 fois sur ce même parcours, Tiger WoodsTiger qui ?!?

Hideki Matsuyama n’est plus un inconnu des fans de golf. C’est un joueur qui n’a cessé de progresser pour finalement s’installer dans le top 10 des joueurs mondiaux.

Il fait partie de ces joueurs qui ont commencés très tôt le golf (à 4 ans) grâce à son père. Ensuite, bien après en 2010, il a gagné le Asian Amateur Championship sur un score de 68-69-65-67=269. Ce qui lui a permis de participer en tant qu’amateur à son premier Masters en 2011. Il est devenu, ainsi, le premier amateur japonnais à participer à un tel événement. Durant cette même année 2011, Matsuyama a gagné la médaille d’or des jeux mondiaux universitaire et aussi défendu avec succès son titre de Asian Amateur Championship…

Bref, en 2012, il devient n°1 mondial amateur et passe professionnel dans la foulée. Les résultats ne vont pas tarder à arriver et dès 2014, il décroche sont premier titre :

  1. Juin  2014, remporte le Memorial Tournament en Playoff contre Kevin Na ;
  2. Février 2016, remporte le  Waste Management Phoenix Open en Playoff contre Rickie Fowler ;
  3. Octobre 2016, remporte le WGC-HSBC Champions avec 7 coups d’avance sur Daniel BergerHenrik Stenson ;
  4. Février 2017, remporte à nouveau le Waste Management Phoenix Open en Playoff contre Webb Simpson.

Par ailleurs, il s’adjugera en 2015 la cinquième place du Masters 2015, ce qui reste sa plus grande performance en Majeur !

Le “top 10″ de la dernière victoire de Matsuyama au WGC est donc le suivant :

Lors de ce tournoi, le belge Thomas Pieters (finalement 4ème) aurait pu s’imposer. En effet, celui-ci est parti en dernière partie avec l’américain Zach Johnson (qui n’a plus gagné depuis 2016). Mais à mi-parcours, le belge à continuer à égarer ses mises en jeux dans le “rough” particulièrement difficile. Le résultat ne s’est pas fait attendre, “bogey” aux trous 8 et 9 et un agacement du belge particulièrement visible… Cela, bien évidement, ne lui a pas permis de revenir dans la partie. 

Il est a noté que son partenaire du jour, Zach Johnson, avait des “putts” (au 15 et au 16) qui auraient dû lui donner une occasion d’accrocher un Palyoff avec le japonais. Mais l’américain n’était pas dans un bon jour, il a manqué ces “putts”.

Par ailleurs, on a pu observer avec bonheur, la précision des « drives » monstrueux de Rory Mcllroy. L’irlandais se présentait avec un nouveau « caddy » sur son sac. En fait, un ami de longue date. Le résultat est sans appelle, 52 des 56 mises en jeux (hors par 3) ont dépassé les 300 yards (274 mètres). Il est sur cette semaine le premier « driver » avec une distance moyenne de 328 yards, un peu plus de 10 yards de plus que Jason Day à “seuleument” 319 yards.

Mais le “driving” ne fait pas tout. Même si Rory a dominé les débats aux départs de ce tournoi, Zach Johnson finit à la 53 ème place sur cet exercice (296 yards) mais termine 4 coups devant l’irlandais !!

Le retour des “driving irons” !?!

Alors que le numéro 1 mondial, Dustin
Johnson
a « claqué » le plus long drive depuis 2013 (493 yards = 450 mètres), ce jeudi :

Des clubs sont réapparus
lors du précédant The Open. Je veux parler des « driving
irons ».
Même, si par exemple, la maque PXG (Parsons Xtrems
Golf) les a remis au goût du jours, il y a quelque semaines, avec la
sortie des PXG 0311X :

Ces « driving
irons » étaient plutôt le standard, notamment sur le PGA
Tour,
mais ils ont commencé à disparaître dans les années 1980.
En effet, l’arrivé des clubs dit « hybrides » dans les
années 1990 et 2000 ont poussé les clubs « Fer 1 » et
« Fer2 » (i.e. « driving irons ») vers
l’oubli. Et comme les clubs et les balles se sont améliorés – et
les « lofts » sont devenus plus forts sur l’ensemble des fers – les joueurs puissants frappaient leur « fer 3 »
et « fer 4 » alors que les générations précédentes
frappaient les « fer 1 ».

Mais il y a quelque
années, certains joueurs ont commencé a utiliser à nouveau, ces
« driving irons » (i.e. « fer 2 et 3 »))
mais avec des « lofts » plus important.

Alors pourquoi un soudain
regain pour ces fers ?
Les fabricants ont amélioré leur
capacité à manipulé le centre de gravité dans ces fers. Ainsi,
ils peuvent générer plus de vitesse de balle avec les fers
d’aujourd’hui.

Contrairement aux
illustres ancien Arnold Palmer, Jack Nicklaus and Ben Hogan qui
jouaient des « Fer 1 et 2 » limitent injouable
aujourd’hui.
La plupart des fers 1 et 2 modernes ont une « masse »
supplémentaire positionnée au niveau de la tête.
Bien souvent sous
forme de vis de poids, de tungstène ou de masse ajoutée. Cela
facilite l’élévation de la balle.

Cependant, le vol de la
balle des « driving irons » reste plus bas que celui des
« hybrides » ou des « bois de parcours », par
conséquent les coups dans le vent restent dans la ligne et vont plus
loin après atterrissage.

Ces fers modernes sont creux, de sorte
que la zone de frappe fléchit plus efficacement à l’impact et
produise plus de vitesse de balle :

Enfin des avancements
dans les « shafts » ont également rendu plus faciles
l’utilisation de ces « driving irons ».
En effet, la
plupart des joueurs professionnel utilisent pour ces types de fers,
des « shafts » en graphites qui sont plus légers.

Ainsi, l’irlandais Rory
Mcllroy
a commencé le premier tour de The Open avec le club de
TalorMade le « Tour Preferred UDI 1-iron » monté avec un
« shaft » graphite (Project X HZRDUS). Sur le
« practice » du tournoi, l’ancien numéro un mondiale a
enchaîné des balles tendues avec son nouveau jouet. Ces balles
basses ont quand même atteint les 250 mètres.

On a vu aussi, plutôt dans l’année,
l’australien Jason Day jouer un « driving iron » (i.e.
Fer 2) lors de l’US Open 2017 :

Alors que ces « driving
irons » ne sont pas une réelle nouveauté, ils ont le
mérite de faire réfléchir ceux qui ont la fâcheuse tendance à
arroser avec leur « driver » ou bois de parcours, et ceux
qui aiment le jeu de fers longs.

En
effet, le « driving iron » (i.e. Fer 1) de Mcllroy est
beaucoup plus facile à frapper que les clubs de Nicklaus et ses
pairs utilisés dans les années 1970, mais ce n’est pas pour tous le
monde. 

Les « driving irons » sont réservés aux golfeurs qui ont une vitesse de swing élevée et avec un bon contact de balle !!

 

200 mètres tout droit depuis le tee, beaucoup plus
facilement… ça reste à voir. Et ça pourrait servir depuis le
“rought” propre, lors de bons lies…Why not ?

Si
jamais vous avez besoin de plus de détails techniques, je vous invite
à allez voir des tests très détaillés basés sur
des données Trackman :

ARE
YOU A CANDIDATE FOR A DRIVING IRON ?

Porsche Open : Alexander Levy trébuche en playoff

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