Alors ça WHOOP ?

LE WHOOP, son nécessaire de chargement, des bracelet supplémentaire et sa house de transport.

Après presqu’un an d’utilisation du bracelet, Whoop (suivi d’activité), nous avons décidé de vous faire un retour sur son utilisation. Golfeurs passionnés nous avions été interpellé par ces bracelets portés par de nombreux golfeurs professionnels des différents Tours. Après une petite investigation, nous avons franchi le pas, constatant que ce bracelet semblait apporter plusieurs avantages.

Le produit…

On va pas revenir en détail sur le bracelet que nous avions présenté il y a déjà quelque mois (cf. article ici). Mais, il faut retenir qu’il permet principalement de :

  • suivre ses activités physiques (pratiquement toutes y compris la sieste et la méditation) notamment en monitorant votre fréquence cardiaque et l’effort généré ;
  • suivre sa capacité de récupération (suite à ses activités) grâce à la mesure de différents paramètres.

Il repose sur un « business plan » très malin, un abonnement mensuel (ou annuel) de traitement de vos données pour vous restituer tous les résultats. Ainsi, on te « donne » le premier bracelet (avec le nécessaire pour le charger) et l’application à télécharger. Tous cela, s’accompagne d’un merchandising complémentaire pour te vendre des bracelet de différentes couleurs, des batteries de rechange…

Et sinon, ca marche…

Comme la aussi déjà évoqué, les débuts de l’utilisation (octobre 2019) ont été compliqués, le bracelet ne se synchronisait pas avec l’application, il ne détectait pas les activités ou le sommeil… Bref, nous avons retourné deux bracelets aux SAV avant d’en avoir un qui marche.

Il faut aussi savoir que ce bracelet doit être connecté en permanence, via « Bluetooth », à votre téléphone. Sinon, il sera complètement perdu et incapable de traiter correctement vos données. C’est un risque que certain ne souhaiterons pas prendre.

Le suivi des activités

La mesure de l’effort (« Day Strain ») du Whoop repose essentiellement l’évaluation de la contrainte subit par votre système cardiovasculaire en mesurant notamment votre fréquence cardiaque. C’est là, que des phénomènes inexpliqués (à notre niveau) ont été constatés:

  • la mesure de la fréquence cardiaque sur certains efforts était très différentes (15 à 20 pulsations d’écart) par rapport à ce qui était constaté sur une montre de sport classique (ex: Polar M420). Ce phénomène assez surprenant a été constaté plusieurs fois et régulièrement dans le temps. Cet écart était surtout constaté lors d’efforts importants. Un fois le pic passé, les mesures redevenaient plus cohérentes.

Ensuite, le « Day Strain » est spécifique à chaque individu. Vous pouvez faire le même effort sur la même durée, vous n’aurez pas le même résultat. Ca dépend clairement de votre physionomie.

Enfin, le bracelet détecte correctement les activités physiques. Il vous suffit ensuite de sélectionner l’activité correspondante et l’application vous calculera pratiquement automatiquement votre « Day Strain ».

La mesure de la récupération

C’est là, que le Whoop fait la différence avec les autres bracelets. En effet, il détermine votre capacité de récupération. Par conséquent, vous savez quel niveau d’effort vous pouvez produire pour rester en forme.

Comment mesure-t-il la capacité de récupération ?

Il le mesure à l’aide de 3 paramètres :

  • RHR (Resting Heart Rate): c’est la mesure de votre rythme cardiaque lorsque vous êtes au repos;
  • HRV (Heart Rate Variability): c’est la mesure de la différence de temps entre les battements cardiaque successif au cours de votre dernière période de sommeil;
  • Heures de sommeil: le Whoop mesure la qualité de votre sommeil selon un algorithme qui lui est propre.

Ces trois paramètres rendent la mesure de la dite récupération (i.e. « Recovery ») un peu technique et obscure. En effet, Whoop n’explique pas en détail comment il donne son résultat (en %) de votre récupération. Ce paramètre est calculé à l’issue de votre nuit de sommeil. Nous avons par exemple constaté:

  • une correcte correspondance entre un état de fatigue et le faible pourcentage de la mesure du « Recovery » (i.e. entre 10 et 30%), ce qui est rassurant;
  • mais nous avons aussi constaté des réveils difficiles alors que le « Recovery » était a un très bon score (i.e. entre 80 et 95%), ce qui nous interrogé. Nous n’avons pas d’explication particulière ;
  • enfin, après des nuits particulièrement agitées et donc pas vraiment reposantes, la capacité de récupération calculée était très bonne…

Il semble aussi, mais la nous n’avons pas suffisamment d’éléments pour le démontrer, que le « Recovery » soit très lié à la mesure du « HRV ». Si ce paramètre n’est pas dans vos valeurs moyennes, alors le « Recovery » est quasi systématiquement mauvais. Mais là encore, impossible d’avoir des informations plus précise de Whoop.

Bref, nous somme assez dubitatif sur la véracité de ce paramètre calculé. En effet, régulièrement, nous avons constaté des incohérences entre notre état de forme (ressenti) au réveil et le « Recovery » affiché par l’application. Après notre évaluation est quasi empirique et ne s’appuie sur aucune mesure scientifique.

L’éffet COVID ….

Ce qui a accentué la popularité du Whoop, c’est le PGA Tour!!! Pourquoi ?

A cause de Nick Watney, qui comme un grand nombre de joueurs du Tour a un Whoop.

Le 19 juin dernier, lors du tournoi RBC Heritage, le joueur est testé au COVID comme cela est prévu par le protocole du PGA Tour. Il sera positif donc obligé de déclarer forfait et se mettre à l’isolement comme prévu par le même protocole.

Rétrospectivement, lorsque Nick Watney a regardé les donnés collectées par son Whoop, il a observé une forte augmentation du paramètre « HRV ». En effet, son « HRV » habituel est compris entre 13 et 14, alors que quelque jours avant d’être testé positif au COVID-19 ce paramètre est monté à 16 puis 18.

D’après Whoop, ce phénomène avait déjà été observé sur différentes personnes (environ 200) avant qu’elles ne soient testées positive au COVID-19. Bingo pour Whoop, qui saisit l’opportunité et indique qu’ils sont capable de détecter le virus en analysant vos données…

Résultats, Whoop distribue 1000 bracelets à tous les joueurs, caddies et staff du PGA Tour ainsi qu’aux joueuses du LGA Tour. L’effet est immédiat, les joueurs prennent la balle au bon et relaie le message sur les réseaux sociaux…

TWEET de Ian Poulter sur le WHOOP…

Le « buzz » est direct mais l’analyse qui démontre le phénomène n’est pas vraiment scientifique. Certes de nombreux témoignage de différents athlètes et d’anonyme ayant contracté le COVID-19 ont observé ce phénomène mais ce n’est pas suffisant.

Conclusion

Le « branding » de ce bracelet n’a pas encore d’équivalent sur le marché. Il s’appuie notamment sur les relais de plusieurs sportifs de haut niveaux ou de personnalités publiques. Ca marche. Par ailleurs la société lève régulièrement des fonds auprès des investisseurs, la dernière plus de 100M€.

Excepté, les débuts difficile avec le WHOOP, nous n’avons rien à reprocher au bracelet qui fonctionne correctement et a un design discret. Les esthètes pourront même choisir des bracelets de différents coloris associés à leur tenu. Cependant, il est dommage que l’application « SmartPhone » associée soit uniquement en anglais, c’est bien le seul reproche que l’on peut lui faire car elle est particulièrement bien faite et opérationnelle.

Maintenant, les mesures nous ont laissé parfois un peu dubitatif. Par exemple la fréquence cardiaque ne semblait pas toujours exact. Ce qui semble être le cas de nombreux autres bracelets. Ensuite, la détermination du « Recovery » ne nous a pas convaincu. Certes notre analyse repose sur la comparaison d’un ressenti avec une valeur calculée. Mais nous nous connaissons suffisamment bien pour savoir quelle est notre état de forme. Enfin, le prix de l’abonnement n’est pas neutre, 30€ par mois sans compter les éventuelles promotions.

Vous avez suffisamment d’élément pour vous déterminer. J’espère que vous serez faire le bon choix.

THE GOLFIEST

WHOOP, WHOOP, WHOOP…

WHOOP, WHOOP, WHOOP…

Le WHOOP

Nous avons testé le WHOOP, le très populaire bracelet de suivi d’activité, étrangement similaire à une montre, que vous voyez chez une grande partie des joueurs professionnels de golf.

Nous précisions que nous avons achetez les bracelets et nous n’avons aucun accord avec le fournisseur. En même temps, il connait pas The Golfiest...

Alors qu’est ce donc ?

L’élément le plus « chaud » parmi les professionnels des Tours (PGA et Européen) cette année n’est pas le dernier « driver » ou la balle qui va le plus loin. En effet, ce produit n’aide pas les golfeurs à mieux frapper leurs coups. Mais ça en fait de meilleurs athlètes et des golfeurs plus concentrés. Le WHOOP 3.0 est sur le poignet de plusieurs vainqueurs des Tours, ainsi que des foules d’autres pros – dont aucun (à priori) n’est payé pour le porter.

Xander et Rory avec leur petit WHOOP (bracelet noir)
JT avec son bracelet WHOOP (un peu fashion)

Il faut considérer ce bracelet comme un « tracker » d’état de forme de la dernière génération.

Oui, mais pourquoi ?

Ce « tracker » a d’abord été développé pour les sportifs professionnels.

Ensuite, il y a trois ans, il a commencé a être adopté par certains golfeurs professionnels. En effet, ils voyagent et s’entraient beaucoup, leurs corps sont donc soumis à un stress important. Dès le début, ces joueurs professionnels ont compris l’utilité de ce « tracker », un outil incroyable pour évaluer leur processus de préparation et évaluer leur état de forme régulièrement.  Le prix prohibitif des premiers modèles (V2) en a fait rapidement un usage réservé aux professionnels. Mais avec la V3.0, ce « tracker » est maintenant disponible au plus grand nombre.

Mais encore …

Là où les bracelets de suivi d’activité classique suivent les pas réalisés, ou le rythme cardiaque. Le WHOOP, en plus de suivre toutes les activités physiques possibles (i.e. du Golf au Gaming en passant par la méditation) détermine votre niveau de récupération. C’est grâce à cette capacité qu’il se différencie du reste du marché. En effet, il mesure votre taux quotidien de récupération (« Recovery »), il vous le donne sous la forme d’un pourcentage (entre 0 et 100%) indiquant dans quelle mesure votre corps est prêt à fonctionner ce jour-là :

Votre niveau de récupération (« Recovery ») détermnier quotidiennement par le WHOOP

Ah bon et comment ?

Comme évoqué plus haut, ce qui séduit aussi tous les golfeurs, est cette possibilité de suivre leur capacité de récupération quotidiennement. Ci-dessous, un exemple de taux de récupération hebdomadaire, suivi via l’application mobile :

Le suivi hebdomadaire de votre taux de récupération (« Recovery »).

Pour cela, le WHOOP le détermine en s’appuyant sur la mesure des 3 paramètres (in English) suivants :

  • « HRV (Heart Rate Variability)  : c’est la mesure de la variation de temps entre chaque battement cardiaque. Ce paramètre est un des plus utiles pour déterminer les « charges » d’entrainement optimales. En effet, un cœur normal et sain ne fonctionne pas de la même manière qu’un métronome, mais au lieu de cela en regardant les millisecondes entre les battements cardiaques, on observe une variation constante. En général nous ne sommes pas très conscients de cette variation ; ce n’est pas la même chose que la fréquence cardiaque qui augmente et diminue au fur et à mesure de nos activités quotidiennes. Dans une situation normale et saine, le HRV augmente pendant les activités de détente, par exemple la méditation ou le sommeil. D’un autre côté, l’HRV diminue naturellement pendant le stress, lors d’un effort… Le WHOOP mesure se paramètre et traduit ces données en recommandations exploitables (via l’application mobile).
  • « RHR » (Reasting Heart Rate) : paramètre beaucoup plus classique, le RHR représente le nombre de battements cardiaques par minutes pendant que vous êtes au repos. C’est un instantané, en temps réel, du fonctionnement de votre muscle cardiaque. Le bracelet mesure ce paramètre pendant votre sommeil chaque nuit pour des lectures cohérentes et contrôlés. Au fil du temps, vous pouvez surveiller les changements de RHR pendant que vous vous entrainez. La encore le WHOOP tout en mesurant ce paramètre, traduit ces données en recommandations exploitables.
  • « Sleep » : si vous avez un défaut de sommeil, cela vous affecte quasi automatiquement sur le parcours. Le WHOOP évalue la quantité, la qualité et l’efficacité de votre sommeil. Il vous suggère aussi combien de temps vous devez dormir pour être en meilleur forme. En effet, la « dette » de sommeil chronique réduit votre capacité mentale et physique, ce qui par conséquent réduit votre capacité à bien jouer au golf… De plus, le WHOOP suit vos cycles de sommeil, chaque nuit, en vous indiquant combien de temps vous passez dans chacun.  

A partir de ces trois paramètres « HRV », « RHR » et « Sleep » , le WHOOP détermine (selon un calcul bien à lui), la mesure de votre récupération. Ainsi, l’utilisation de cette mesure, par les golfeurs, leur permet de savoir qu’ils sont dans les bonnes conditions lorsque c’est le plus important.

Et quoi d’autres?

Le WHOOP mesure aussi la charge cardiovasculaire (« Strain ») que vous mettez sur votre corps lors de vos différentes activités sportives. Il vous permet de voir à quelle vitesse vous consommez votre « carburant » lors de ces activités ainsi que le niveau d’effort que vous devriez atteindre. La gestion et la compréhension de cette charge (« Strain ») doit vous permettre de réduire toute incertitude autour de votre niveau de performance.

Bien sûr, comme tous les bracelets de ce type, une application et un site web sont disponibles pour consulter les données collectées, prendre connaissance des recommandations… gérer ses phases d’entrainements.

Il y a aussi le design bien pensé qui le différencie des autres « trackers » et qui en fait entre autre un objet agréable à porter. Par ailleurs, la grande multitude de bracelet disponibles est un avantage indéniable. En effet, ca nous change des éternels bracelets noirs…

Les bugs, le fonctionnement….

  • Commençons par les mauvaises nouvelles. Avant de pouvoir utiliser les données de ce joujou. Il a fallut renvoyer deux modèles qui ne marchaient pas correctement… En effet, les données n’étaient pas correctement collectées et/ou il ne détectait pas les phases de sommeil… Mais il est a noté que le support est assez pragmatique et efficace, ils ont renvoyé, a chaque fois un nouveau WHOOP !!
  • Le WHOOP fonctionne mieux lorsqu’il est connecté (via Bluetooth) a l’application de votre téléphone. En effet, il collecte plus facilement les données. Vous pouvez par ailleurs, vous assurez de sa bonne connexion via l’écran suivant de l’application :
Ecran de l’application qui synthétise les différents paramètres et la connection du WHOOP au téléphone
  • Le chargement du WHOOP n’est pas forcément ce qu’il y a de plus pratique. En effet, a taille du bracelet ne permet pas de brancher directement un chargeur. Il faut donc d’abord charger une espèce de batterie via un cordon USB et ensuite « plugger » la batterie sur le WHOOP (ci-dessous le matériel de charge avec la housse…). Il faut donc anticiper le chargement de la batterie pour ensuite charger le WHOOP :
Le matériel de chargement et la housse du WHOOP

Le prix ?

Ce « tracker » a un prix… Mais attention, tout comme le WHOOP est original, sa facturation l’est aussi. On vous rassure toute suite, ca reste abordable. Mais encore ? Le principe est le suivant : vous ne payez pas le WHOOP (i.e. le tracker, un bracelet, le chargeur)… mais vous payez un abonnement mensuel pour traitement de vos données. Cet abonnement varie entre 20 et 30€ par mois (en fonction des promotions). Ce n’est pas forcément très bon marché. En plus, dès que vous voulez changer de bracelet ou obtenir un chargeur supplémentaire, vous passer à nouveau à la caisse. On peut dire que le modèle marketing est particulièrement bien pensé.

Conclusion

Au delà des problèmes initiaux (échange de deux WHOOP), le produit est agréable visuellement et l’application très bien pensée. Les données récoltées et les recommandations aident à gérer son état de forme. Par conséquent, il est plus facile de savoir quand il est bénéfique de faire un parcours (9 ou 18), du practice ou rien. On va voire sur la durée si cela se confirme et on hésitera pas à vous faire par de nos remarques dans les prochains mois.

The Golfiest

Comment éviter le HYPE et choisir le bon matériel ?

Comment éviter le HYPE et choisir le bon matériel ?

Le matos, c’est important !!

Les golfeurs renouvellent régulièrement leur clubs et bien souvent pour la bonne cause, la performance. C’est effet est mesuré plus précisément au travers du taux de renouvellement (vocabulaire utilisé par les fabricants). Il est en moyenne pour nous « frenchy » de 60%.

D’où les questions : comment font les golfeuses et golfeurs pour choisir leur futurs clubs ? Est-ce qu’ils appuient sur des analyses objectives ? Sur des publicités ? Sur les conseils d’autres golfeurs ? De leur pros?

On s’est donc mis dans la peau d’un golfeur qui recherche des informations pour faire le bon choix. Voici nos résultats (qui peuvent être complétés/commentés par vos soins) :

Les publicités, bonnes conseillères…

Elles sont très belles, nous font rêver, surtout entre deux tours de Majeurs… On s’imagine battre le record de notre parcours favoris avec le dernier Driver à la mode et les derniers Wedges. Les résultats sont souvent douloureux pour le score et surtout notre portefeuille.

Michel, lorsqu’il enchaîne son huitième 3 putts avec son nouveau putter…

Enfin, il y a aussi les pseudos essais sur le Net qui vous redirigent vers les ventes de sites en lignes de vos marques favorites.

Bref, aucune information objective permettant de faire le bon choix.

Les tests à la française

Si, si ça existe! Ils sont rares mais ils ont le mérite d’exister, c’est un bon début. On a trouvé des choses intéressantes (il y a en plein d’autres) :

  1. Avisgolf : deux passionnés font des vidéos, notamment sur des essais de matériel de golf. Ces essais sont essentiellement basés sur les sensations de nos deux testeurs. Ce qui est déjà bien. Mais cela ne reposent pas encore sur des mesures précises ou des comparatif entre marque. On notera quand même, un essai plus qu’intéressant (pour les joueurs confirmés ) sur les fers PXG. Bref, vous l’aurez compris ces essais portent sur des marques bien connues et restent de l’ordre du partage de sensations. C’est un bon début mais ça peut provoquer des déceptions…
  2. Jeux de Golf : des tests un peu plus poussé avec vraisemblablement des analyse de données…. Ils semblent être les tests les plus aboutis mais nous n’avons aucune certitude puisque les articles sur ce site sont payants…
  3. Golf facile : un site original qui fait la part belle aux clubs dits génériques. Ce sont des tests un peu plus poussés que juste un retour sur les sensations du testeur. Avec deux particularités, les résultats sont orientés par niveau de golfeur et on trouve des tests sur des clubs de très bon rapport qualité prix (voir : Nordicagolf).

Nous n’avons pas fait une analyse exhaustive de tous les sites. Mais seulement les plus populaires remontés par Google… Il y en a d’autres.

De façon général, il n’existe pas d’analyses précises (sauf peut être Jeux de Golf) dans les tests français sur le Web qui permettent de faire un choix rationnel ….

Bien, mais que fait-on ? Surtout s’il on doit investir entre 400€ et 1000€ dans du nouveau matériel. De façon assez classique, on se tourne vers les cousins américains….

Les tests à l’américaines….

Pourquoi les USA ? Par ce que beaucoup de choses (i.e. nouvelles, innovantes…) liés aux matériels de golf viennent de ce pays. Rien de plus normal au vu de nombre de pratiquants et de son industrie liée au golf.

Dans ce pays raide dingue de golf, notre choix s’est porté sur deux sites Web. L’un est clairement assez classique et conventionnel l’autre est sans doute ce que l’on recherche lorsqu’on veut changer de matériel:

Les « Hot Lists » du Golfdigest

La HOT LIST 2019

Ce site est connu pour ses articles de fonds sur le PGA Tour, le monde professionnel, les voyages de golf…

Mais chaque année, il lance des tests de matériels et publie ses « Hot Lists » par type de matériels : drivers, fers, wedges, putters…

Ces tests sont réalisés dans tous le pays par des licenciés de différents niveaux sur 222 « candidats » (i.e. drivers, fers, wedge, putters) selon les critères suivants :

  • 45% de l’évaluation se fait sur la performance du club
  • 30% sur l’innovation du club (i.e. la technologie, le fitting eventuel…)
  • 20% sur le look, le feeling du club, le bruit à l’impact…
  • 5% sur la réputation du club

Les clubs sont ensuite notés sur 100 sur les 222 testés initialement seuls 129 passent le CUT et ainsi les produits sont notés comme suit :

  • GOLD s’ils sont évalués avec une note entre 93 et 100
  • SILVER s’ils sont évalué avec une notre entre 88 et 92.99

On a donc des clubs testés dans tous les sens par des golfeurs différents et ça chaque année. Vous trouverez ICI la HOT-LISTS 2019.

Ces tests sont bien évidement tournés vers des marques connues mais la sélection qui est faite assure une relative indépendance et aide le golfeur à faire son choix. On a par exemple, en plus des résultats, des vidéos qui aident le golfeur à choisir son futur club en fonction de la caractéristique principales rechercher : tolérance, peu de spin, distance …

L’indépendance à tout prix de GOLF SPY

GolfSpy veut le meilleur pour les golfeurs

Le slogan de ce site est simple et direct, presque une « punchline » : « LET’S REPLACE HYPE WITH COLD HARD DATA ».

Son fondateur, Adam Beach, est un passionné de golf qui a un temps été désigner de clubs (putter et driver). Il a lancé GolfSpy, il y a plus de 10 ans ans maintenant, pour aider les golfeurs à faire les bons choix. Il pense que l’on ne doit pas dépenser un dollar de plus (un euro) si cela n’améliore pas la performance…

Les balles testés par GolfSpy (source : GolfSpy)

Son dernier coup de force est le test des BALLES (2019 Golf Ball Buyer’s Guide), ça n’avait pas encore été fait. Les principaux résultats sont les suivants :

  • Distance : 1) Snell MTB-x / 2) Titleist Pro-V1x / 3) Brdigestone TourB X
  • Wedge Spin : 1) Volvik S4 / 2) KirKland Signature 3pc / 3) Mizuno RB Tour X
  • etc…

Bref des résultats excessivement détaillés sur plusieurs dizaine de balles… Tester sur les parcours avec un Driver, un Fer 7 et un putteur. Ces tests « Outdoor » ont été complétés par des tests avec un robot qui reproduit un Swing identique. Ces swings robotisés permettent de réaliser des tests de balles avec plusieurs vitesses de swings …

Les données des essais (i.e. du vol de la balle, spin, vitesse…) sont collectées à l’aide d’un Trackman. Ils ont même poussé les tests en réalisant des « shots » avec des balles aspergées d’eau….

Le résultat ne s’est pas fait attendre, une bronca des fabriquants de balles remettant en cause les tests… et des bravos de milliers de golfeurs qui avaient enfin des données fiables sur les balles.

Vous trouverez sur le même principe des tests sur les fers, les drivers, les hybrides, les putteurs, des shafts….

Et pour compltéter ces tests vous trouverez aussi un Buyer’s Guide qui vous permet de choisir le meilleur sac, la meilleurs lunette de visée, le meilleur parapluie….

Bref, GolfSpy est un paradis pour les golfeuses et golfeurs en quête d’informations précises et indépendantes pour choisir leur matériel. So go !!

Conclusion

L’important, c’est ton choix…

Notre revue de quelques sites français montre que les tests ne sont pas encore poussés et on reste sur des sensations partagées par certains passionnés ou pros. Pour nous, ce n’est pas suffisant. Surtout lorsque l’on connait l’investissement que ça peut représenter.

Heureusement, le Web (US, UK,…) permet d’obtenir des informations détaillées et indépendantes récupérés lors d’essais particulièrement poussés. A ce jour, nous n’avons pas trouvé meilleur que GolfSpy. En effet, le protocole de réalisation des tests est systématiquement expliqué, les résultats sont très détaillés et par conséquent ils se positionnent sans concession sur les différents matériels testés.

The Golfiest

Mais qui est ce vendeur de tomates qui réussit si bien dans le golf ?

Bob Parsons fondateur de PXG , personne ne fait des club comme eux !
Bob Parsons (devant le centre de fitting PXG au Japon)

Bob Parsons a l’habitude, lorsqu’il rencontre quelqu’un qu’il ne connait pas, de se présenter comme vendeur de tomates. Entre nous, ce vendeur de tomates à plutôt bien réussit…

Il a changé le paradigme du « business » du golf. Mais qui est vraiment Bob Parsons, au delà de sa boutade ? D’où vient-il ? Comment est-il venu au golf ? Comment a-t-il fondé PXG (Parsons Xtreme Golf) ?


Marine au sein de la Delta Company du Premier Bataillon de la 26ème !

Lorsque l’on écoute ses différents interviews, ce qui caractérise le bonhomme c’est son passage chez les Marines. Mais aussi son expérience du Vietnam (1969) dont il reviendra blessé.

Avant cette période, il se définit lui même comme un pauvre gars très mauvais à l’école… Cette période l’a semble-t-il structuré et l’a aidé a s’accomplir complètement. Il a compris la discipline. Bref, si vous avez un engagement, peu importe que cela vous prenne du temps ou que ça ne vous plaise pas, vous le réalisez !!


Ses études à Baltimore (Maryland)

A cette époque, les anciens du Vietnam, bénéficiaient d’études gratuites à l’université. Le Boby n’hésite pas un instant et fonce à l’université de Baltimore. Il est le premier de sa famille a aller à l’université. Bon en calcul et en math, il choisit de faire de la comptabilité et il deviendra Comptable…


L’informatique

Au cours de ses voyages pour son travail, il apprendra a programmer et réalisera son premier programme de gestion de comptes. En 1984, son programme devient suffisamment bon pour le commercialiser (« Money Count »).

Il avait alors 15 000 $ en poche, toutes ses économies, il les met dans cette affaire. Son logiciel est lancé au prix (du marché actuel) 149 $. Mais, il perd la totalité de ses 15 000 $. L’année suivante, il continue à améliorer son logiciel et dans le même temps il réussit à rassembler 25 000 $ qu’il met encore dans cette entreprise. Il baisse alors le prix à 49 $. Il perd à nouveau tout…

C’est alors qu’un petit magazine d’informatique local (Computer Bargain Line – FortDoge / Iowa) lui propose de faire une publicité en première page. Le Bobby n’hésite pas et saisit l’occasion (même s’il n’a plus vraiment de cash). Il prend l’affaire pour $ 5000 et balance le slogan suivant « L’argent compte, mais cela ne coûte que 12 dollars ». Il baisse le prix de son logiciel à 12$ et autorise tous les futurs acheteurs à faire des copies, des modifications de code… Résultat, cela fonctionne, son « business » est lancé !!

En 1984, il gagne 287 000 $. Il quitte alors son poste de comptable et commence à travailler à temps plein sur son « business »

Le « MoneyCounts6.0 » vintage software….

Dix ans plus tard, il vendra sa société ($64 millions) , qui comptait 1000 personnes pour un chiffre d’affaires de 100 millions de dollars. Mais un divorce plus tard, il laisse la moitié de son butin et déménage en Arizona en 1997.

GoDaddy !!

Il démarre alors une nouvelle affaire dans l’Internet. Il s’aperçoit que les noms de domaines (internet) son chers. Bingo ! Il se lance dans ce « business ». Pour ce démarquer, il décide, d’appeler son entreprise GoDaddy.com. Un coup de génie mais qui ne va pas payer tout de suite…

En effet, la route va être encore être longue, il ne voit pas de lumière au bout du tunnel… Ces confortables économies fondent à vue d’œil (il passe d’environ 35 millions de dollars à 6…) !! Il envisage même de fermer son entreprise.

Mais, la chance sourit au audacieux. La bulle Internet éclate. Alors que les compagnies tombaient comme des mouches, GoDaddy était là et assurait le service. Même si les temps sont durs, en Octobre 2000, la société est toujours debout. Et depuis, la société n’a jamais manqué un mois de rentabilité.

Mais ce qui va faire passer GoDaddy dans une autre sphère est une publicité refusée par la NFL (National Football League) lors de la diffusion du fameux « Super Bowl »…. Alors que sa société à un trésor de guerre de 10 000 000 $ pour se développer. Il décide de faire une publicité diffusée lors de ce « Super Bowl ». La première annonce est lancé lors de la retransmission. Mais après réflexion la NFL décide de ne pas diffuser la deuxième l’a trouvant trop sexiste. Il l’a remplace par un bande annonce. Bob Parson saisit cette opportunité unique, écrit un post sur son blog au sujet de ce refus de dernière minute. Ces propos sont alors repris en boucle dans tous les médias. Mais surtout, tous les médias re-diffusent le fameux spot censuré. C’est le super bingo, GoDaddy est connu et reconnu de tous !!!

La part de marché de GoDaddy dépasse aujourd’hui les 70% dans le monde. Plus de 30 de ses employés ont gagné plus d’un million de dollars.

Parsons Xtreme Golf !!!

Le Bobby dans son jardin.

Il a toujours été un fanatique de golf. Son père était un joueur « scratch ». Quand il a commencé à avoir de la réussite, il rejoue plus régulièrement avec certains de ses collègues, il devient 10 de handicap.

Mais ce sont ses rencontres avec de nombreux « businessman » pour lesquels le jeux est vraiment important qui vont l’intéresser au « business » du Golf. En effet, au cours de ces rencontres, il remarque qu’ils étaient près à dépenser beaucoup d’argent pour avoir du matériel qu’ils leurs fassent gagner quelques mètres… Il pense alors qu’il y a quelque chose à faire dans ce domaine.

Contrairement à ses amis qui ont des voitures de luxes ou qui sont des gros joueurs (de casino). Lui préfère dépenser son argent dans les clubs de golf .

Il lui arrivait de dépenser entre 200 et 250 000$ en matériel de golf. L’année précédant la fondation PXG, il a même été jusqu’à 300 000$ !!! Mais il a constaté que tous ces clubs ne tenaient pas vraiment leur promesse… C’est là qu’il commence à se pencher sérieusement sur le sujet en étudiant plus particulièrement les matériaux, la balistique, l’aérodynamique…

Enfin, il constate aussi que l’une des problématiques majeur dans l’industrie du golf est la course au temps. En effet, les différentes compagnies doivent sans cesse sortir de nouveau modèle (chaque année). Par conséquent, les équipes de R&D et les ingénieurs n’ont pas vraiment le temps de développer leur idée, il doivent répondre à des nouveaux défis chaque années pressurisés par les délais…

Bob Parson décide alors de recruter deux ex-Ping (Mike Nicolette, ancien joueur du PGA dans les années 80 et developpeur des blades irons; Brad Schweigert le lead designer de Ping) et lance PXG. Mais la première année, ses deux recrues n’ont pas le droit de faire des travaux de design à cause d’une clause de non concurrence. Ils se lancent alors dans la conception de balles mais se rendent vite à l’évidence que les meilleurs balles sont les Titleist Pro v1x !!

Une fois la clause de non concurrence passée, la conception des clubs commencent par des fers. Le cahier des charges sera définit par Bob Parson lui même : « Je veux un fer qui ressemble à une lame, qui a peu d’offset, très sexy à regarder. Il devra envoyer la balle plus loin, mais sans que les lofts soient modifiés exagérément, avec des trajectoire plus haute. Il devra être un très bon compromis et il doit être incroyablement indulgent. »

Le FER 7 selon PXG !!

Certes ces clubs sont une réussite mais il sont sur une gamme de prix élevée voir très élevée. Mais les résultats sont là, les fers, les wedges, les drivers… se démarquent par un design remarquable et des performances qui ne le sont pas moins.

Les Wedges comme les autres clubs PXG sont racés !!

Résultats, les « happy few » débarquent en masse au centre « PXG_Xperience » (Scottsdale, Arizona) pour essayer les joujoux et se faire fitter une série sur mesure. Le succès est mondiale !!

La force de PXG ne s’arrête pas là, puisqu’il ne tarde pas à se faire une place au soleil dans l’élite mondiale du Golf :

PGA Tour : Zach Johnson, Pat Perez, Charl Shwartzel, James Hanhn, Scott Langley et Whydham Clarc

LPGA Tour : Lydia KO, Anna Nordqvist, Katherine Kirk, Austine Ernst, Christina Kim, Brittany Lang, Alison Lee, Ryan O’Toole, Gerina Piller…

Et cocorico, la française Celine Boutier fait partie de la team !!

La française Céline Boutier fait partie du team PXG !

Bref, PXG est très bien lancé, même si ça reste du matériel onéreux !! La dernière percée de PXG est son nouveau Driver qui est sollicité par la presse spécialisée (GolfDigest par exemple), les sites indépendants….

Le dernier DRIVER de PXG
Le dernier DRIVER PXG encensé par le GolfDigest (US).

A défaut d’avoir les moyens de s’offrir ces clubs, on peut toujours se rabattre sur les casquettes de PXG…

La casquette de golf selon Bobby !!

The Golfiest

PS: 1) Ce portrait n’est en rien une campagne de publicité. En effet, nous n’avons pas encore essayé ces clubs. Ce qui nous passionne c’est l’histoire incroyable de ce « businessman » qui débarque d’un seul coup dans le monde du golf et par conséquent secoue le milieu… 2) Ce portrait est largement inspiré des nombreux interviews donnés par Bob Parsons 3) Si vous voulez en connaitre un peu plus sur le Bob, nous vous conseillons le podcast du célèbre Erik Anders Lang Show !!

Le retour des “driving irons” !?!

Alors que le numéro 1 mondial, Dustin
Johnson
a « claqué » le plus long drive depuis 2013 (493 yards = 450 mètres), ce jeudi :

Des clubs sont réapparus
lors du précédant The Open. Je veux parler des « driving
irons ».
Même, si par exemple, la maque PXG (Parsons Xtrems
Golf) les a remis au goût du jours, il y a quelque semaines, avec la
sortie des PXG 0311X :

Ces « driving
irons » étaient plutôt le standard, notamment sur le PGA
Tour,
mais ils ont commencé à disparaître dans les années 1980.
En effet, l’arrivé des clubs dit « hybrides » dans les
années 1990 et 2000 ont poussé les clubs « Fer 1 » et
« Fer2 » (i.e. « driving irons ») vers
l’oubli. Et comme les clubs et les balles se sont améliorés – et
les « lofts » sont devenus plus forts sur l’ensemble des fers – les joueurs puissants frappaient leur « fer 3 »
et « fer 4 » alors que les générations précédentes
frappaient les « fer 1 ».

Mais il y a quelque
années, certains joueurs ont commencé a utiliser à nouveau, ces
« driving irons » (i.e. « fer 2 et 3 »))
mais avec des « lofts » plus important.

Alors pourquoi un soudain
regain pour ces fers ?
Les fabricants ont amélioré leur
capacité à manipulé le centre de gravité dans ces fers. Ainsi,
ils peuvent générer plus de vitesse de balle avec les fers
d’aujourd’hui.

Contrairement aux
illustres ancien Arnold Palmer, Jack Nicklaus and Ben Hogan qui
jouaient des « Fer 1 et 2 » limitent injouable
aujourd’hui.
La plupart des fers 1 et 2 modernes ont une « masse »
supplémentaire positionnée au niveau de la tête.
Bien souvent sous
forme de vis de poids, de tungstène ou de masse ajoutée. Cela
facilite l’élévation de la balle.

Cependant, le vol de la
balle des « driving irons » reste plus bas que celui des
« hybrides » ou des « bois de parcours », par
conséquent les coups dans le vent restent dans la ligne et vont plus
loin après atterrissage.

Ces fers modernes sont creux, de sorte
que la zone de frappe fléchit plus efficacement à l’impact et
produise plus de vitesse de balle :

Enfin des avancements
dans les « shafts » ont également rendu plus faciles
l’utilisation de ces « driving irons ».
En effet, la
plupart des joueurs professionnel utilisent pour ces types de fers,
des « shafts » en graphites qui sont plus légers.

Ainsi, l’irlandais Rory
Mcllroy
a commencé le premier tour de The Open avec le club de
TalorMade le « Tour Preferred UDI 1-iron » monté avec un
« shaft » graphite (Project X HZRDUS). Sur le
« practice » du tournoi, l’ancien numéro un mondiale a
enchaîné des balles tendues avec son nouveau jouet. Ces balles
basses ont quand même atteint les 250 mètres.

On a vu aussi, plutôt dans l’année,
l’australien Jason Day jouer un « driving iron » (i.e.
Fer 2) lors de l’US Open 2017 :

Alors que ces « driving
irons » ne sont pas une réelle nouveauté, ils ont le
mérite de faire réfléchir ceux qui ont la fâcheuse tendance à
arroser avec leur « driver » ou bois de parcours, et ceux
qui aiment le jeu de fers longs.

En
effet, le « driving iron » (i.e. Fer 1) de Mcllroy est
beaucoup plus facile à frapper que les clubs de Nicklaus et ses
pairs utilisés dans les années 1970, mais ce n’est pas pour tous le
monde. 

Les « driving irons » sont réservés aux golfeurs qui ont une vitesse de swing élevée et avec un bon contact de balle !!

 

200 mètres tout droit depuis le tee, beaucoup plus
facilement… ça reste à voir. Et ça pourrait servir depuis le
“rought” propre, lors de bons lies…Why not ?

Si
jamais vous avez besoin de plus de détails techniques, je vous invite
à allez voir des tests très détaillés basés sur
des données Trackman :

ARE
YOU A CANDIDATE FOR A DRIVING IRON ?